Ski de rando et Freerando : deux disciplines sportives à la fois très proches et très différentes ! Il s’agit de deux pratiques de ski hors-piste, mais dont le but final n’est pas le même ! Tout est dans les sensations que vous recherchez !
Le ski de rando : proche de l’alpinisme
consiste à atteindre un sommet. Ceci, sans utiliser les remontées mécaniques. On passe beaucoup plus de temps à monter qu’à descendre finalement. Cette discipline peut se pratiquer à la journée ou sur plusieurs jours avec des nuits en refuge. Elle est adaptée aux aventuriers qui veulent parcourir des espaces sauvages, loin des domaines très fréquentés, en toute liberté !
Cette pratique nécessite de chausser des skis légers, afin de faciliter la montée. Il est également conseillé de coller des peaux pour ski de rando sous la spatule : un système anti-recul qui permet de mieux adhérer au sol pour l’ascension et qui assure une bonne glisse dans les descentes. Les fixations sont étudiées pour permettre une grande aisance pendant les mouvements de marche.
Si vous doutez de vos connaissances sur la montagne, mieux vaut partir accompagné d’un guide. Un ARVA n’est pas de trop non plus !
Le freerando : la descente avant tout
Entre le ski alpin et le ski de randonnée, le freerando ou randonnée freeride, est une discipline qui a de plus en plus de succès. Elle permet à ceux qui ont soif de grands espaces, de découvrir de nouvelles sensations de glisse dans la poudreuse.
Les freeriders optent pour des itinéraires proches des domaines skiables, afin de profiter des remontées mécaniques. Contrairement au ski de randonnée, ici l’accent est mis sur la descente. Le but est de marcher pas trop longtemps. Par ailleurs, le matériel est plus lourd que celui du ski de rando. La maniabilité des skis de freerando est importante en descente et moins en montée.
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